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ZAP Québec

Bon, je sais, je suis loin de Québec, mais ma ville occupe toujours mes pensées. Ça fait donc un bon moment que je suis le projet ZAP Québec (je connais plusieurs des initiateurs) et que je savoure le moment où, à notre retour, le tout sera effectif. Ok, un peu égoïste comme réaction. ;-)

Mais jusqu'à maintenant, rien là à bloguer sur le rapprochement entre ZAP et les musées.

Puis. Déclic. Je lis les suggestions des gens (section commentaires) au sujet des endroits où ils souhaitent qu'il y ait du wifi (connexion Internet sans fil et donc diffusée de façon ambiante).

Surprise. Joie. Satisfaction. Ils souhaitent qu'il y ait des ZAP près des deux musées nationaux de Québec!

Pourquoi je trouve ça intéressant? Même majeur? Parce que c'est le signe que les deux musées sont des phares pour la région et qu'il y a un intérêt pour les gens d'aller faire de l'Internet à proximité, voir au musée.

Savourez. C'est bon signe. Reste à adhérer. ;-)


Puissance des outils réseaux?

Il y a quelques jours, j'ai publié ceci.

Aujourd'hui, je reçois les remerciements!

C'est merveilleux la puissance des réseaux.

Vous vous demandez comment Museo Abierto a découvert que j'avais parlé de lui? Rien de magique. À chaque fois que l'on publie un lien, l'auteur du lien en est informé : via un jeu de pings - j'informe l'autre que j'ai publié son lien- et de trackback -l'autre m'informe qu'il a fait un lien vers ma note. Vous voyez d'ailleurs les trackback en bas de chaque note que je publie.

C'est aussi ça la puissance des réseaux, c'est que l'on s'informe l'un l'autre quand l'un parle de l'autre.


Qu'est-ce qu'une bonne exposition?

Le Museums Australia Education Group nous partage cette réflexion au sujet de A good exhibition is….

J'en retiens l'extrait suivant :

«The need to cultivate a culture of critique around museum exhibitions.»


Et quand ils parlent de critique, je ne crois pas qu'ils parlent de journalistes qui critiquent nos expositions dans les médias, mais bien de commentaires de visiteurs. On dirait que le sujet est à la mode! ;-)


Deux autres ressources «réseau»

Suite à cette note où je vous présentait quelques outils réseau de l'Internet, en voici deux autres.

- SlideShare : banque de présentations multimédia (communément appelés power point). C'est là que j'ai ai découvert cette merveille.

- Swivel : banque de statistiques et de graphiques. ... ça pourrait nous être drôlement utile!

C'est grâce à l'extraordinaire et prolifique François que j'ai découvert ces deux outils. Merci!

Dans le cas de ces trois liens, vous remarquerez encore une fois que les commentaires sont très importants. Dans le cas de SlideShare, on peut d'ailleurs commenter chaque «slide». Dans le cas de Swivel, lisez les commentaires chez François pour comprendre ce que je veux dire.

C'est dans les commentaires que se trouve la puissance des outils réseau!


Je vous ai pas dit!

Je vous parlais ici de la nouvelle console nintendo Wii. Je vous disais également que j'avais hâte qu'elle arrive à Paris.

Eh bien, nous l'avons!

C'est totalement renversant le changement de rapport que nous avons avec le jeu vidéo, mais surtout avec l'interactivité entre les personnes qui jouent et entre celles-ci et l'écran de télévision.

Le premier jeu avec lequel nous avons joué est le jeu des sports. Au tennis plus particulièrement. Vous auriez dû nous voir pousser des cris de joie quand on réussissait un point, ou de déception quand on perdait. Au delà du plaisir, je souligne le vrai changement qui est de vraiment sentir le jeu «à deux» que représente le tennis. Je fais le service, mon adversaire (debout à côté de moi dans le salon) me voit (en vrai) lever le bras. Il se prépare à riposter en regardant l'écran pour voir la balle arriver vers lui (en virtuel). Il frappe la balle, je le vois bouger, je me prépare à réagir en vrai... mais en virtuel à l'écran. Enfin bref, il faut le voir pour le croire et surtout le sentir (nous avons été courbaturés les premiers jours!). C'est pûrement trippant.

Nous avons également Zelda (une tradition qui rappelle l'époque de jadis... sans enfants!), mais je n'ai pas eu le temps de l'explorer. Ce type de jeu me semble plus inspirant comme application muséale de la technologie.

Je suis convaincue que nous entrons, avec cette technologie, dans une nouvelle ère pour les médiums que les musées pourront utiliser pour «faire vivre l'expérience».

À voir.


Petite suggestion

En ce mardi matin qui me semble un vendredi, je disgresse un peu.

Je viens de lire cette note d'un ami de Québec qui réfère à cet article du Soleil (sapré journal qui s'évertue à ne pas mettre ses articles au complet alors que la version montréalaise le fait...) puis vers le restaurant en question.

J'oserais vous suggérer d'aller y faire un tour. Biensûr pour soutenir cet immigrant qui a choisi Québec, mais également parce que je suis curieuse de savoir ce qu'est la cuisine afghane. ... si vous y allez, vous me ferez un commentaire?


Les musées et le web : une preuve que ça bougera

Visiblement je ne suis pas la seule à penser que les musées doivent penser web et outils réseaux. Parcs Canada pense de même puisqu'il vient de publier cette offre d'emploi.

Veuillez particulièrement remarquer l'extrait suivant au niveau des compétences particulières à posséder :

«Enfin, l’analyste de la recherche doit se tenir au courant des derniers progrès dans la technologie numérique, du téléphone cellulaire à la baladodiffusion, en passant par le carnetage.»

Ça ne fait que confirmer non?


Personnalité de l'année du Time magazine

La nouvelle est tombée comme un cadeau de Noël offert avant le réveillon : le Time magazine attribue sa traditionnelle personnalité de l'année aux blogeurs!

Pourquoi cette nouvelle a généralement été reçue comme un cadeau, une surprise très agréable? Parce que la communauté des gens qui bloguent se sentent partie prenante d'un mouvement mondial de collaboration et qu'un média écrit (il y a, disons, une petite guéguerre entre les médias écrits et les blogueurs au niveau de la crédibilité et du sérieux) confirmait enfin l'existence et surtout la portée de ce mouvement.

Quelques extraits du Time qui expriment leur pensée à ce sujet :

  • «It's a story about community and collaboration on a scale never seen before.»
  • «It's about the many wresting power from the few and helping one another for nothing and how that will not only change the world, but also change the way the world changes.»
  • «It's a tool for bringing together the small contributions of millions of people and making them matter. Silicon Valley consultants call it Web 2.0, as if it were a new version of some old software. But it's really a revolution.»
  • «You can learn more about how Americans live just by looking at the backgrounds of YouTube videos than you could from 1,000 hours of network television.»
  • À ce sujet, il me semble très intéressant pour nous gens de musées, donc gens qui souhaitent parler de notre société, de saisir que ce mouvement est majeur non pas juste dans le moyen utilisé pour s'exprimer (la technologie), mais surtout dans la façon même de s'exprimer et de «qui» s'exprime. Ceux qui utilisent ces outils réseaux ne sont pas tous des geeks, comme on appelle les experts-trippeux-d'ordinateur-et-de-technologie. On y retrouve surtout des gens «ordinaires» qui commencent peu à peu et qui découvrent un univers fascinant où ils sont justement en réseau avec d'autres gens de partout sur la planète! Il me semble important comme créatrice de musée de faire partie de ce mouvement-là, parce qu'il est devenu la vie d'aujourd'hui.

  • «Sure, it's a mistake to romanticize all this any more than is strictly necessary. Web 2.0 harnesses the stupidity of crowds as well as its wisdom.»

    Faut pas se leurer, les outils réseau ne sont que des courroies de transmission de l'humanité... dans toute sa splendeur et sa déchéance.

  • «But that's what makes all this interesting. Web 2.0 is a massive social experiment.»
  • «But 2006 gave us some ideas. This is an opportunity to build a new kind of international understanding, not politician to politician, great man to great man, but citizen to citizen, person to person.»

Bon, après cela, vous vous demandez peut être pourquoi je blogue.

Je blogue parce que j'aime apprendre, j'aime découvrir ce que d'autres pensent sur le domaine des musées et sur la façon de s'exprimer dans un musée. Je blogue parce que j'ai le sentiment que cet outil me permet de découvrir des «façons de faire» qui alimentent ma créativité muséale. Je blogue parce que bloguer n'est pas juste écrire des notes. Bloguer, c'est être abonnée à d'autres blogues. Je lis les fils rss d'une soixantaine de blogs tant dans le domaine des musées que dans d'autres milieux créatifs. Je blogue parce que je souhaite partager avec vous les découvertes que je fais pour vous alimenter à votre tour. Et c'est fou comme notre vie change quand on commence à bloguer. Si on le fait une fois de temps en temps (disons, une fois aux deux semaines), on ne ressent pas vraiment ce changement. Mais quand on prend un rythme d'une note par jour ou par deux jours, on dirait que notre attention sélective s'allume et on se met à découvrir tout plein de choses! Je ne peux plus lire un journal ou un magazine sans lire des articles intéressants au niveau des musées et mon réflexe : je dois bloguer cet article.

Alors, quels sont ces outils de réseau dont je vous parle depuis le début?

Le blogue
Évidemment, il y a les blogues. C'est à dire un espace d'écriture personnel ou institutionnel où l'on communique une information ou une trouvaille avec ses lecteurs. Idéalement, ces informations seront hyperliées vers la source même. J'utilise Typepad, mais ça pourrait aussi être Blogger ou d'autres.

L'aggrégateur
L'autre particularité ESSENTIELLE d'un blogue, c'est son fil rss. Vous vous demandez peut être qu'est-ce que c'est que ça? Le fil rss est un lien URL que l'on copie dans LE truc essentiel pour suivre les blogues de façon simple : l'aggrégateur. L'aggrégateur est un petit logiciel que l'on installe sur son ordinateur (et qu'on laisse ouvert en permanence comme le logiciel de courriel) et qui nous averti en direct lorsqu'une personne a publié une nouvelle note sur son blogue. De là l'intérêt de copier le fil rss d'un blogue. Ne croyez donc pas que je fais tous les matins le tour de la soixantaine de blogues que je suis pour vérifier s'ils ont publié quelque chose. Ce serait trop long et je n'ai absolument pas ce temps-là. Mon aggrégateur m'avertit tout simplement quand quelqu'un a publié. Pour ma part, j'en utilise deux : celui inclus dans mon fureteur Internet, Safari, et NetNewsWire lite. Les deux sont gratuits (le NetNewsWire «tout court» n'est pas gratuit). Pourquoi deux? Tout simplement parce que j'ai commencé avec NetNewsWire lite et qu'un jour on m'a dit que Safari permettait de suivre les fils rss et que j'ai voulu essayer. Du coup, j'ai ajouté des fils rss dans le second et je me suis retrouvée avec deux logiciels. Un seul peut vous suffir. Il y en a des tonnes d'autres que je connais plus ou moins puisque je suis satisfaite de mes deux outils. J'ai par contre entendu parler de NetVibes. Vous verrez si cela peut vous convenir.

Comment reconnaître et trouver le fil rss? Un petit rectangle orange avec les lettre RSS ou encore dans la colonne de gauche ou de droite du blogue, une petite phrase disant «fil rss» ou «fil xml». Vous copiez le lien URL et l'ajoutez dans votre aggrégateur.

Voilà, maintenant avec ces deux outils, vous pouvez bloguer et suivre les autres blogueurs. Vous pouvez évidemment juste suivre les autres blogueurs.

Et si vous ne voulez pas avoir d'aggrégateur, je vous ai simplifié la vie. Sur le côté de cette page, vous avez une petite boîte qui vous permettra d'inscrire votre courriel et d'être avisé lorsque je publierai une nouvelle note (il suffira alors de cliquer sur le titre bleu de la note pour arriver directement à la bonne page de mon blogue).

Quelques autres outils réseaux «à la mode ces temps-ci».

  • Flickr : banque de photos postées par des individus. Les tags, ou mots-clés, permettent de faire une recherche par sujet.
  • YouTube : banque de vidéos postés eux aussi par des individus.
  • Del.icio.us (prononcer comme délicieux, mais en anglais!): banque de signets, commentés ou pas, sélectionnés par des individus. Vous vous direz : mais quel est l'intérêt de partager ses signets? Je me disais la même chose jusqu'à ce que je découvre la puissance collaborative de cet outil. Si je vous dirige vers le del.icio.us de cette personne et vers celui de celle-ci, vous ne constatez pas que vous venez de découvrir des dizaines de liens fort intéressants? Et dans votre domaine en plus puisqu'encore une fois, l'approche tag est derrière cet outils très vertigineux.

Bon, je m'arrête ici... vous avez autre chose à faire de votre journée que de me lire... et moi aussi! ;-)

... surtout que j'ai encore plein de choses en réserve pour bloguer.


Une publication à lire!

Décidément, le thème des musées et du web 2.0 est la saveur du jour.

Je viens de découvrir cette étude intitulée Museums in Transition:Emerging Technologies as Tools for Free-Choice Learning publiée par le Science museum of Virginia et la firme Gyroscope.

Je n'ai pas le temps de lire le document ce matin (ça a l'air de rien, mais il faut aussi travailler en plus de bloguer!), mais je vous reviendrai avec mes commentaires.

Via ideum.


L'État québécois et la femme

Je sors un peu de mon propos sur les musées pour vous suggérer cet article sur les orientations que le gouvernement du Québec souhaite donner aux valeurs et approches de l'État québécois quant à la place de la femme dans la société.

Vraiment, quand je lis des articles comme cela, je suis fière d'être Québécoise.

Vous me direz peut être que ce sont des voeux pieux. Peut être. Mais les choses sont dites tellement explicitement, que je doute que ça ne porte pas fruit au moins en bonne partie.


Interactivité avec les visiteurs

Très intéressante réflexion menée par Museum 2.0 sur l'apport des visiteurs à une exposition (via les commentaires, via les réflexion lors de la visite, via les échanges entre visiteurs, etc.). Il est très important de lire les commentaires de cette note, ils sont tout aussi intéressants que la note en soi.

À inclure dans les suites de cette réflexion amorçée ici et ... et non terminée.

Gracia a Museo abierto por ese enlace. ;-)


Rendre le musée «2.0»

J'ai plusieurs documents à vous souligner pour réfléchir sur les façons pour un musée de devenir «2.0», c'est-à-dire, de s'ouvrir à l'interaction avec le public à l'aide des technologies (commentaires, suggestions, participation directe, etc.).

Mais le temps manque. J'y reviendrai donc plus profondément, mais je tenais à colliger les sources... sinon, je vais tout oublier. Alors voici une liste de liens à consulter :

- Colonizing Social Spaces de Ideum;

- Une série de publications de Ideum sur le National Digital Forum en Nouvelle-Zélande : jour 1, jour 2, publication 1, jour 2, publication 2 et jour 2, publication 3.

- quelques articles dans Le Monde 2 que je ne trouve pas en ligne pour l'instant, mais dont je vous reparlerai parce qu'ils sont essentiels, à mon sens, pour comprendre les rôles que pourront jouer les musées dans ce «nouveau monde» qui se dessine devant nous.


Artefacts, télé et cinéma

Encore une fois, Eye Level m'a inspiré cette réflexion. Jeff y raconte avoir eu la surprise de découvrir une des oeuvres du Smithsonian American Art Museum dans un épisode de Desperate Housewives.

Et au Québec, est-ce que ce genre de situation arrive dans vos musées? Recevez-vous des demandes de producteurs télé ou cinéma pour utiliser une de vos oeuvres? Si oui, il serait intéressant de le savoir en le mentionnant sur votre site!

J'aime particulièrement que cette oeuvre n'ait pas été montrée uniquement pour ses qualités visuelles, mais parce qu'elle véhicule un message. Il est certain que le téléspectateur ne connaîtra pas ce message d'emblée. Par contre, c'est justement le rôle du musée de prendre à sa charge cette information et sa diffusion. Eye Level l'a parfaitement réussi.

p.s. Vous constarez que la page d'accueil du SAAM change selon le téléchargement. De plus, est-ce un hasard?, une de ces images présente justement l'oeuvre vue dans l'émission. Brillante façon pour le site officiel et pour le blog de se soutenir mutuellement.

Également, vous aurez constaté que Jeff met dans son message un lien vers l'oeuvre en question vers la base de données publique des collections du SAAM. Il me semble très important si un musée veut devenir «2.0» (pour employer l'expression consacrée!), que sa collection soit publique. Bon, je vais faire une petite recherche pour voir quels musées québécois rendent publique leur collection.


Les 25 livres scientifiques à retenir

Via Guitef, les 25 livres de sciences qui ont influencé l'histoire.

Je n'en ai lu aucun. Zut!

Pour l'instant, le serveur cubiq n'est pas accessible, mais j'irai voir lesquels de ces livres font partie d'une des collections du gouvernement comme celle du Musée de la civilisation (ex. collection de livres anciens du Séminaire de Québec). Édition originiale s'entend!

Lorsque j'avais collaboré à la réalisation de l'exposition L'Odyssée de la lumière, j'avais entre autres eu comme commande de fouiller dans les livres anciens de la collection du Séminaire de Québec (conservés au Musée de l'Amérique française). J'y avais évidemment vu des merveilles. À la recherche du livre de Newton sur la lumière, Opticks, nous l'avions trouvé... au Musée national des beaux-arts du Québec!

Toujours est-il qu'une liste de la sorte est bien précieuse dans notre domaine. Biensûr pour savoir quoi présenter lors d'une éventuelle exposition. Mais surtout, parce qu'il me semble important de connaître les oeuvres et les gens qui ont façonné notre histoire scientifique.


Musée et publications jeunesse

Je travaille présentement à un mandat avec un éditeur canandien qui souhaite que je lui recommande une série de livres et de sites Internet afin de fournir des outils complémentaires aux enseignants qui se procurent ses manuels scolaires.

Un mandat en marge de ceux que je reçois habituellement, mais franchement fascinant puisque j'adore l'univers enfantin et encore plus la lecture.

Au détour d'une de mes recherches, je découvre ce livre : La course à l'hydrogène de Réal Godbout et Benoît Gauthier, en collaboration avec la Cité de l'énergie (éditions Soulières). Passon sous silence le douteux choix éditorial de calquer la maquette des Tintins, particulièrement Objectif Lune...

Je n'ai pas lu le livre, mais la description est suffisante pour comprendre qu'un thème cher à la Cité de l'énergie a été intégré à un ouvrage de fiction afin d'intéresser les jeunes.

Et pourquoi les musées ne développeraient-ils pas toujours une fiction pour jeunes lors de l'ouverture de chaque exposition? Avec toute la documentation que l'on recueille, il y a amplement de documentation pour un roman jeunesse, tout comme un album pour enfants!

... voilà qui m'intéresse énormément! Je pourrais combiner musées, expositions, lecture, écriture et enfance! ;-)